Voici une synthèse des retours à l’enquête de satisfaction de fin de parcours. Peux-tu identifier ce qui manque à ce document pour qu’il soit plus pertinent pour les responsables de formation ? Propose trois compléments d’analyse ou de structuration qui permettraient d’en améliorer l’utilité opérationnelle. Texte : En fin de parcours, les apprentis ont exprimé un bon niveau de satisfaction global, avec un taux moyen de 83 %, en légère progression par rapport à l’année précédente (+2 points). Ce taux masque cependant des disparités entre les sites de formation et les types de parcours. Les éléments les plus fréquemment valorisés concernent la qualité des formateurs, jugés compétents et disponibles, ainsi que l’accompagnement administratif, perçu comme réactif. À l’inverse, plusieurs axes d’amélioration sont remontés de manière récurrente. De nombreux apprentis ont signalé un manque d’informations claires sur les périodes en entreprise, notamment sur les objectifs de stage et les attentes des tuteurs. Ce déficit de communication semble affecter leur intégration en entreprise et la cohérence entre les temps de formation et de pratique professionnelle. Par ailleurs, plusieurs remarques pointent une faible diversité des modalités pédagogiques utilisées en centre de formation, avec une forte prédominance du cours magistral, peu engageant pour certains publics. Des retards répétés dans les plannings, surtout en début de formation, ont également été relevés, entraînant un sentiment d’impréparation chez les apprenants. Concernant l’évaluation, une part non négligeable des répondants indique ne pas comprendre les critères d’évaluation utilisés ni les attendus de certaines épreuves. Enfin, l’accueil des nouveaux entrants a été jugé inégal, certains centres ne disposant pas de procédure claire ou de documents d’intégration standardisés. Ces retours, bien que globalement positifs, doivent être analysés en profondeur pour identifier les points critiques récurrents et les corriger dès la prochaine rentrée. La mise en place de bilans intermédiaires, d’un livret d’accueil commun et d’une meilleure synchronisation avec les entreprises partenaires font partie des premières pistes envisagées par le pôle.